![Les réfugiés ukrainiens seront hébergés dans la caserne des Rochat, située sur la commune de Provence (VD). Ce centre fédéral temporaire sera exploité, dès le 4 avril, par le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). [KEYSTONE/IMAGE D'ILLUSTRATION - VALENTIN FLAURAUD]](https://img.rts.ch/articles/2022/image/gs4sl9-25917344.image?w=1280&h=720 "Les réfugiés ukrainiens seront hébergés dans la caserne des Rochat, située sur la commune de Provence (VD). Ce centre fédéral temporaire sera exploité, dès le 4 avril, par le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). [KEYSTONE/IMAGE D'ILLUSTRATION - VALENTIN FLAURAUD]")
Un centre fédéral temporaire dans le canton de Vaud pour accueillir les réfugiés ukrainiens
Les réfugiés ukrainiens seront hébergés dans la caserne des Rochat, située sur la commune de Provence (VD). Ce centre fédéral temporaire sera exploité, dès le 4 avril, par le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM).
La caserne des Rochat bénéficiera d'une capacité maximum de 240 lits. Son exploitation est prévue jusqu'au printemps 2024, soit jusqu'à la construction d'un nouveau centre fédéral pour requérants d'asile au Grand-Saconnex (GE).
"Le SEM devrait alors être en mesure de fermer le centre temporaire des Rochat", indique jeudi le canton de Vaud dans un communiqué.
Un centre, mais pas fédéral, a déjà ouvert dans le canton de Vaud, sur le site de Beaulieu à Lausanne, pour accueillir les réfugiés ukrainiens. Quatre autres structures vont ouvrir ces prochains jours à Morges (sur le site de Marcelin), à Gland (ancien siège du WWF), à Gryon (Foyer du chalet Florimont) et à Lausanne (hôtel AlaGare).
ats/vajo
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"Nous avons encore besoin de 2000 à 3000 places d'hébergement pour faire face à l'afflux, mais tous les demandeurs d'un permis S ne sont pas accueillis dans des centres", a relevé jeudi devant la presse à Berne Erwin Bollinger, ambassadeur et responsable du centre de prestations Relations économiques bilatérales au Seco. Beaucoup d'entre eux sont hébergés chez des particuliers.
Tous les réfugiés en Suisse trouvent un toit. Mais les collectivités publiques sont encore en manque de ressources pour gérer la situation.