Elu au second tour, Pascal Broulis rejoint Pierre-Yves Maillard au Conseil des Etats

Parti favori, Pascal Broulis a creusé son avance très tôt dimanche après-midi dans le canton de Vaud. Au final, il remporte ce deuxième tour avec près de 15'000 voix d'écart.

Sans trop de surprise, le PLR sauve donc son siège au Conseil des Etats grâce à la forte mobilisation de l'électorat de droite. Cette victoire de Pascal Broulis "est due aux membres du PLR, mais aussi à ceux de l'UDC et du Centre", explique Florence Bettschart-Narbel, présidente du PLR vaudois dans le 19h30 de la RTS.

A gauche en revanche, le pari est perdu pour le candidat Vert Raphaël Mahaim, la faute peut-être à une baisse de la mobilisation des Vaudois et des Vaudoises, qui n'étaient que 37% à se rendre aux urnes.

Pour le candidat écologiste malheureux, le parti doit à présent "regarder vers l'avenir et continuer à travailler". "On a une phase de consolidation de nos acquis", explique-t-il.

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Elu au premier tour, Pierre-Yves Maillard salue la "campagne courageuse" menée par son allié Raphaël Mahaim. "Il a vraiment poussé Pascal Broulis dans ses retranchements dans ce deuxième tour", affirme-t-il dans l'émission Forum.

Le résultat est toutefois "assez conforme au rapport de force politique", selon le socialiste qui estime que Pascal Broulis a désormais "une pleine légitimité pour essayer de faire ce qui est nécessaire". "C'est-à-dire de renforcer le pouvoir d'achat des gens, de traiter les grands enjeux énergétiques et environnementaux et aussi d'assurer à notre pays une perspective en termes économiques et dans la politique internationale", indique-t-il.

Une alliance qui fonctionne

Malgré les défaites de Raphaël Mahaim dans le canton de Vaud, de Lisa Mazzone à Genève et d'Alizée Rey à Fribourg, Pierre-Yves Maillard estime que l'alliance entre le Parti socialiste et les Vert-e-s fonctionne bien et "va continuer à bien fonctionner, avec parfois des situations plus favorables aux uns et parfois le contraire".

Pour le socialiste, cette alliance s'est révélée réussie dans le canton de Vaud. "On a été vraiment présent dans ce deuxième tour", affirme-t-il. "Ensemble, je crois qu'on peut faire progresser notre pays et notre canton", assure Pierre-Yves Maillard.

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Les 74'648 voix recueillies par Raphaël Mahaim n'ont pas été suffisantes pour dépasser Pascal Broulis. Le Vert remarque tout de même que "l'écart s'est beaucoup resserré entre le premier et le deuxième tour", ce qui, selon lui, montre à quel point "le débat était nécessaire".

S'il existe beaucoup de facteurs pouvant expliquer cette défaite, Raphaël Mahaim estime que le fait qu'il soit beaucoup moins connu que son adversaire a joué un grand rôle.

"Depuis le début de cette campagne, il y avait parmi les candidatures, en particulier Pierre-Yves Maillard et Pascal Broulis, des anciens conseillers d'Etat qui ont marqué la vie de ce canton, qui jouissent donc d'une grande notoriété", explique-t-il dans l'émission Forum.

Le Vert rappelle qu'il est entré au Conseil national il y a seulement deux ans, ce qui explique cet "immense décalage" en termes de notoriété. "On a pu en combler une partie par une campagne vivante, un moment de démocratie important, mais ça n'a pas suffi", regrette-t-il.

>> L'interview de Raphaël Mahaim dans Forum :

Journée sombre pour les Vert-e-s

Il s'agit d'un nouveau coup dur pour les Vert-e-s, grands perdants de ces élections fédérales. Revenant sur la défaite de Lisa Mazzone dans le canton de Genève, Raphaël Mahaim se dit beaucoup plus affecté par la perte du siège de la Genevoise que par son propre résultat.

"J'étais dans cette position de challenger. En revanche, sur Genève, perdre le siège de Lisa Mazzone, pour nous, les Vert-e-s de Suisse romande, ça représente vraiment une grande tristesse", affirme-t-il, décrivant la candidate comme "une personnalité de grande envergure, qui a énormément apporté au Parlement".

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"On peut dire que c'est l'Alliance vaudoise qui l'a emporté ce soir". Invité dans l'émission Forum, Pascal Broulis se réjouit de sa victoire.

Il retrouvera son ancien collègue Pierre-Yves Maillard, avec qui il a siégé au gouvernement cantonal. "Le duo va se reformer pour le bien du canton puisqu'on défend le canton à la Chambre haute", affirme-t-il.

Le PLR estime que la population vaudoise a été "sensible aux équilibres". Beaucoup de débats sont en perspective, selon lui, mais des compromis devront être trouvés, car "on a besoin de sérénité, de calme, de vision de société". "Et depuis plus de 20 ans, c'est dans cet esprit que j'ai toujours construit des stratégies", ajoute-t-il.

Parfois critiqué pour son mauvais niveau d'allemand, Pascal Broulis estime au contraire qu'il a un rôle à jouer en tant que francophone.

Le Vaudois explique que les sensibilités ne sont pas forcément les mêmes "en Appenzell que dans le canton de Vaud" dans certains domaines tels que les mesures sociales, les mesures d'intégration ou encore les mesures de prise en charge du vieillissement de la population.

"La voix que je vais amener dans mon parti, c'est aussi la voix de Pascal Broulis et du canton de Vaud", dit-il. "Je défendrai le français sous la Coupole fédérale", conclut-il.

>> L'interview de Pascal Broulis dans Forum :

Le conseiller national Vert Raphaël Mahaim s'est dit "déçu" de sa défaite. Il souligne néanmoins un second tour "assez disputé" et affirme que les Vert-e-s vaudois "reviendront dans quatre ans".

"Pour moi, par rapport au premier tour, voir cet écart si serré au deuxième tour, c'est quand même un signal positif", affirme-t-il. "Et c'est aussi la démonstration que ce deuxième tour était nécessaire".

Raphaël Mahaim a tenu à féliciter son adversaire du jour: "Bravo à lui et bon vent à Berne. Je me réjouis de travailler avec lui" entre les deux Chambres fédérales. Pour expliquer sa difficulté à remonter son retard du premier tour, l'écologiste estime que la personnalité "très connue et respectée" de Pascal Broulis a pesé dans l'issue du scrutin.

L'écologiste se dit toutefois "très satisfait de la campagne menée sur le terrain". "Nous avons amené une belle énergie et dynamique en faveur du débat démocratique dans le canton", a-t-il souligné. Il se dit aussi "énormément satisfait" d'avoir pu défendre ses valeurs écologistes et humanistes.

>> Les précisions de Robin Baudraz :

RTS - Robin Baudraz

Pascal Broulis a accueilli avec "joie et émotion" son élection au Conseil des Etats. Alors qu'il siégera pour la première fois à Berne, le PLR vaudois souhaite notamment travailler à "trouver des consensus".

Vainqueur dimanche de l'écologiste Raphaël Mahaim, Pascal Broulis s'est dit "fier" de la campagne menée sous le sceau de l'Alliance vaudoise, qui regroupe PLR, UDC et Centre. Il a raconté avoir ressenti "une cohésion", une "vague bleue" autour de lui au cours de cette campagne. Ces élections ont "consolidé" l'Alliance vaudoise, a-t-il affirmé.

Pascal Broulis admet tout de même avoir ressenti une certaine anxiété lors de cette campagne centrée sur les thèmes "complexes" que sont le pouvoir d'achat et l'environnement. "On a bien vu que l'environnement, c'est important, mais les gens étaient moins intéressés par l'environnement que par le pouvoir d'achat", note-t-il.

Il précise également n'avoir jamais attaqué son adversaire lors de cette campagne. "J'ai toujours défendu mes valeurs: la cohésion, le respect des minorités et trouver des solutions", affirme-t-il.

"Trouver des consensus"

Interrogé sur son nouveau travail de sénateur, Pascal Broulis a dit vouloir "travailler dans la continuité" de son prédécesseur Olivier Français. Cela signifiera notamment de "trouver des consensus", de "tendre la main" à ses adversaires politiques pour "le bien de la population vaudoise et suisse."

Pouvoir d'achat, assurances sociales et dossier européen sont quelques-uns des thèmes sur lesquels Pascal Broulis espère peser pour ses débuts à la Chambre des cantons.

>> Ecouter l'interview de Pascal Broulis :

Keystone - Valentin Flauraud

Après avoir longtemps siégé ensemble au sein du Conseil d'Etat vaudois, Pascal Broulis et Pierre-Yves Maillard se côtoieront à nouveau, cette fois à Berne, au Conseil des Etats.

Les deux hommes ont été les artisans du fameux "compromis dynamique" à la vaudoise, veillant à un équilibre entre économie et social.

Avec l'élection de Pierre-Yves Maillard dès le premier tour, puis celle de Pascal Broulis dimanche, le duo surnommé "Brouillard et Malice" est désormais reconstitué. Et c'est sur la scène fédérale que les deux hommes représenteront le canton de Vaud à l'avenir.

Le binôme succède à celui composé de la Verte Adèle Thorens et du PLR Olivier Français, tous deux retirés de la vie politique.

Les partis de l'Alliance vaudoise (PLR, UDC et Centre) félicitent Pascal Broulis pour son élection dimanche à la Chambre des cantons avec près de 90'000 suffrages, soit 53,6% des voix. "C'est une victoire pour l'équilibre gauche-droite", ont-ils aussitôt réagi une fois le résultat final tombé.

"Cette victoire démontre, une fois de plus, la solidité de l'Alliance vaudoise et la nécessité pour les forces du centre-droite vaudois d'être unies", écrit la coalition dans un communiqué. "Une forte mobilisation ainsi que la capacité de Pascal Broulis à convaincre au-delà des clivages partisans auront joué un rôle déterminant dans cette victoire", souligne-t-elle.

Cité dans le communiqué, Pascal Broulis déclare se "réjouir de se remettre au travail pour le canton de Vaud et d'oeuvrer en faveur de rentes décentes, d'un renforcement du pouvoir d'achat et d'infrastructures de mobilité modernes en Suisse romande".

Pascal Broulis rejoint le Conseil des Etats, où il formera le tandem vaudois avec Pierre-Yves Maillard. Le PLR a été élu dimanche lors du second tour des élections fédérales, dont il était le favori face à son challenger écologiste Raphaël Mahaim.

Le citoyen de Sainte-Croix a récolté 53,6% voix (89'058 suffrages), contre 44,92% (74'648) à son adversaire de Lussy-sur-Morges. Le taux de participation s'est élevé à 37,03%, en retrait par rapport au premier tour (43,48%).

Comme attendu, Pascal Broulis a cartonné dans la campagne vaudoise. Raphaël Mahaim l'a emporté dans certaines villes, avec notamment plus de 60% des suffrages à Lausanne et Vevey, mais sans parvenir à combler son retard.

Le Vert aura néanmoins réussi à refaire une partie de son handicap du premier tour: alors qu'il accusait 37'084 voix de retard le 22 octobre, il n'en avait plus que 14'410 dimanche.

A noter aussi qu'en accédant au Conseil des Etats, Pascal Broulis libère une place chez les PLR au Conseil national. Celle-ci revient au sortant Daniel Ruch, qui avait été premier parmi les viennent-ensuite de son parti.

Quant à Raphaël Mahaim, bien que battu dimanche, il devrait continuer de siéger au Conseil national. Il y avait été élu lors du premier tour, terminant au deuxième rang chez les Vert-e-s vaudois, qui ont obtenu trois sièges à Berne.

Après le dépouillement des bulletins de vote d'Yverdon-les-Bains, Pascal Broulis (86'046 voix) dispose d'une avance de plus de 14'000 voix. Raphaël Mahaim (72'072 voix) ne peut donc plus le rattraper.

A 96% du dépouillement, le PLR rejoint donc Pierre-Yves Maillard aux Etats.

A 90% du dépouillement, Pascal Broulis est toujours en tête avec 81'894 des voix (53,62%). Raphaël Mahaim, quant à lui, obtient 68'543 (44,88%).

Le Vert, qui avait déjà beaucoup de retard au premier tour, n'a pas réussi son pari. Pour remporter la mise, il devait mobiliser très largement, du centre à l'extrême gauche.

En cas d'élection, le PLR Pascal Broulis rejoindrait Pierre-Yves Maillard à Berne, reformant ainsi un duo qui a marqué l'histoire politique vaudoise. Les deux hommes ont longtemps incarné le fameux "compromis dynamique" lorsqu'ils siégeaient au sein du gouvernement cantonal.

>> Les précisions du 12h45 :

Le PLR Pascal Broulis fait toujours la course en tête devant le Vert Raphaël Mahaim après 80% du dépouillement. L'ancien ministre des finances recueille 53% des voix à ce stade, contre 45,5% pour le conseiller national écologiste.

Selon ces résultats provisoires, l'écart s'est quelque peu resserré, avec près de 10'000 voix séparant les deux candidats pour ce second tour. La participation s'élève pour l'heure à 37%. La plupart des grandes villes ont été dépouillées.

>> Les précisions du 12h30 :

Keystone - Jean-Christophe Bott

Le PLR Pascal Broulis devance le Vert Raphaël Mahaim pour l'élection au Conseil des Etats après la moitié du dépouillement dans le canton de Vaud. L'ancien ministre des finances recueille 57,9% des voix à ce stade, contre 40,5% pour le conseiller national écologiste.

Selon ces résultats provisoires, plus de 13'000 voix séparent les deux candidats pour ce second tour. La participation s'élève pour l'heure à 37,5%. La plupart des grandes villes n'ont pas été dépouillées.

Le premier des deux sièges vaudois à la Chambre des cantons a déjà été attribué au socialiste Pierre-Yves Maillard, élu le 22 octobre dernier, fait rare, dès le premier tour déjà.

Le PLR Pascal Broulis et le Vert Raphaël Mahaim ont débattu le 7 novembre lors de l'émission Forum.

Il ne reste qu'une place au Conseil des Etats à conquérir dans le canton de Vaud dimanche après l'élection du socialiste Pierre-Yves Maillard au 1er tour.

Dans le match qui oppose Raphaël Mahaim à Pascal Broulis pour le deuxième tour, les Vert'libéraux, dont les voix seront courtisées par les deux candidats, feront office d'arbitres.

Bien que connu comme une locomotive électorale, Pierre-Yves Maillard a créé la surprise en récoltant 52,3% des suffrages contre 43,72% pour Pascal Broulis.

Arrivé à la troisième place, mais à plus de 32'000 voix de son colistier de l'Alliance vaudoise, l'UDC Michaël Buffat a remporté 26,96% des voix. Il a cependant annoncé qu'il ne repartirait pas pour le 2e tour le 12 novembre, estimant que l’écart était impossible à combler.

Le Vert Raphaël Mahaim arrive en quatrième position (24,68%). L'écologiste se lance dans le 2e tour malgré un retard de près de 38'000 voix par rapport à Pascal Broulis.

Report des voix

L’enjeu de ce deuxième tour est donc le report de voix. Où vont aller les suffrages des autres listes du premier tour? A droite, le retrait de Michael Buffat offre en quelque sorte les voix UDC à Pascal Broulis.

La gauche, quant à elle, était partie désunie au premier tour. Plusieurs listes jeunes ou de la gauche radicale ont remporté quelques milliers de voix, qui sont aujourd'hui à glâner.

Il reste également les 26'000 voix très convoitées de Céline Weber. Les Vert'libéraux n'ont pas donné de consigne de vote pour le 2e tour, estimant qu'aucun des deux candidats ne correspondait à leur positionnement politique.

A droite comme à gauche, il faudra séduire le plus largement les électeurs vert'libéraux. Ce sont eux qui risquent bien de faire la différence, pour autant qu’ils se mobilisent. La remobilisation des électeurs, notamment socialistes, est l’autre grande question de ce 2e tour.

>> Voir le sujet du 19h30 :

Le PLR Pascal Broulis était arrivé en deuxième position dimanche avec 43,7% des suffrages (85'771 voix), loin devant le candidat vert avec 24,7% (48'087). Raphaël Mahaim enregistre donc un retard de près de 38'000 voix.

L'UDC Michaël Buffat avait déjà annoncé le 22 octobre qu'il ne se lancerait pas pour le 2e tour. Il avait appelé Raphaël Mahaim à en faire de même pour éviter les frais d'un nouveau scrutin. Ce que l'écologiste a décliné le jour même.

Toute la question est de savoir si ce dernier arrivera à combler son immense écart, ce qui semble a priori difficile. "Le réservoir de voix constitué par les suffrages attribués à toutes les autres candidatures ouvre entièrement le jeu pour le second tour", estiment pourtant les Vert-e-s et le PS dans un communiqué conjoint.

Pas de consigne de vote des Vert'libéraux

Outre celui de son parti, Pascal Broulis aura le soutien de l'UDC et du Centre, soit de l'Alliance vaudoise. Celle-ci appelle "à un grand rassemblement des partis de droite et du centre" derrière le candidat PLR.

Les Vert'libéraux et Les Libres ont choisi, eux, de ne pas faire de recommandation de vote, laissant donc le libre choix à leurs électeurs.

Raphaël Mahaim aura, lui, le soutien assuré des socialistes, y compris la section des jeunes, ainsi que des Jeunes Vert-exs vaudois-exs, qui ont retiré leur candidate. La gauche radicale (Ensemble à Gauche et POP), dont les quatre candidats ont aussi jeté l'éponge, se rallie aussi au Vert.

Sous la Coupole fédérale, à la Chambre haute, les deux sièges vaudois sont à repourvoir. Tant le PLR Olivier Français que la Verte Adèle Thorens avaient annoncé qu'ils ne se représentaient pas.

Le 22 octobre, fait rare dans le canton de Vaud, Pierre-Yves Maillard a été élu dès le premier tour au Conseil des Etats avec 52,30% des voix. Le PLR Pascal Broulis a fini en deuxième position avec 43,72% des suffrages.

A la troisième place, mais loin derrière son colistier de l'Alliance vaudoise, l'UDC Michaël Buffat a remporté 26,96% des voix. Il était suivi de près par le Vert Raphaël Mahaim (24,68%). Michaël Buffat a choisi de ne pas se représenter au 2e tour.

La Vert'libérale Céline Weber a obtenu 13,47% des suffrages. Arrivée en 5e position, elle a aussi annoncé son retrait.

Les cartes de la députation vaudoise au Conseil national ont été redistribuées le 22 octobre, chaque parti connaissant un changement du nombre de ses sièges. Côté gagnants, le PS, l'UDC et Le Centre en ont remporté chacun un de plus. Côté perdants, le PLR, les Vert-e-s et Vert'libéraux en ont lâché chacun un.

Les 19 sièges vaudois sont répartis ainsi: six pour le PS (contre 5 en 2019) avec Samuel Bendahan, Brigitte Crottaz, Jessica Jaccoud, Roger Nordmann, Jean Tschopp et la vienne-ensuite, la municipale yverdonnoise Brenda Tuosto, qui profite de l'élection de Pierre-Yves Maillard aux Etats pour accéder au National; quatre pour l'UDC avec Michaël Buffat, Sylvain Freymond, Jacques Nicolet et Yvan Pahud.

Pascal Broulis, Olivier Feller, Laurent Wehrli et Jacqueline de Quattro représentent le PLR. Raphaël Mahaim, Sophie Michaud Gigon et Léonore Porchet ont été réélus pour les Vert-e-s, alors que Céline Weber représentera à nouveau les Vert'libéraux. Isabelle Chappuis fait son entrée au Parlement pour Le Centre.

N'ont pas été réélus Alexandre Berthoud (PLR), François Pointet (PVL), Valentine Python (Vert-e-s) et Daniel Ruch (PLR).

Retour sur les événements de la journée du 22 octobre, avec les résultats détaillés, nos interviews, nos débats et nos décryptages.

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