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Le généticien français Laurent Ségalat recourt contre sa nouvelle peine

Laurent Ségalat n'a pas assisté à la lecture du verdict qui le condamne à 16 ans de prison. [Laurent Gillieron]
En 2012, Laurent Ségalat n'avait pas assisté à la lecture du verdict qui le condamnait à 16 ans de prison. - [Laurent Gillieron]
Laurent Ségalat a décidé de recourir devant le Tribunal fédéral (TF) contre la nouvelle peine de quatorze ans fixée par la Cour d'appel pénale vaudoise.

Estimant que la justice cantonale n'a pas respecté l'arrêt du Tribunal fédéral et insuffisamment réduit la sanction à son encontre, Laurent Ségalat a décidé de recourir devant le TF contre la nouvelle peine de 14 ans fixée par la Cour d'appel pénale vaudoise.

Après un temps de réflexion, la décision a été prise de faire appel, a indiqué vendredi son avocat Stefan Disch. La Cour cantonale n'a pas suivi l'arrêt du Tribunal fédéral sur certains critères de fixation de la peine ainsi que sur la quotité de la peine, affirme-t-il.

Plusieurs recours

Après avoir été acquitté en première instance en juin 2012, Laurent Ségalat a été condamné en appel en novembre 2012 à 16 ans de prison pour le meurtre de sa belle-mère trouvée morte en janvier 2010 dans sa maison de Vaux-sur-Morges (VD). Le généticien français a ensuite recouru devant le Tribunal fédéral.

Les juges de Mon-Repos ont confirmé fin octobre 2013 la culpabilité de Laurent Ségalat mais estimé la condamnation à 16 ans trop lourde.

ats/olhor

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Cour européenne des droits de l'Homme saisie

Dans la presse française, on a par ailleurs appris récemment que Laurent Ségalat a déjà saisi la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) à Strasbourg.

Il conteste la partie du jugement qui a été validée par le Tribunal fédéral, à savoir sa culpabilité.