"Nous allons demander une prolongation de quinze jours car ce terrain convient pour l'instant", indique dimanche Albert Barras, responsable de la région romande chez les Yéniches.
S'ils se voient opposer un refus, les gens du voyage suisses disent "ne pas avoir de plan B". Ils tiennent pour l'heure à rester dans le canton de Vaud.
Frapper à toutes les portes
"Mais c'est sûr, le groupe n'ira pas sur le terrain mis à disposition par le canton au Chalet-à-Gobet" non loin de là, poursuit M. Barras. Et d'ajouter qu'il frappe actuellement à toutes les portes en vue de trouver une solution.
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"J'ai contacté des propriétaires terriens en espérant qu'ils puissent les accueillir mais nous n'avons rien trouvé. Et les agriculteurs ont besoin de leurs terrains en cette période de l'année".
Lundi, il souhaite reprendre les discussions avec le canton et des communes.
ats/sbad