En novembre dernier, Le Temps avait rapporté que Bernard Nicod s'était servi d’un "corbeau" pour accuser le groupe immobilier Orllati d’une pollution fictive dans le Gros-de-Vaud.
"Bernard Nicod a perdu la tête", souligne mercredi Avni Orllati sur les sites internet de 24 heures et la Tribune de Genève. "Ces calomniateurs doivent assumer leurs responsabilités devant la justice", poursuit-il.
Convention avec l'Etat
Il réfute catégoriquement toutes les accusations portées contre lui et notamment celle concernant une pollution du site protégé de Bioley-Orjulaz. Il indique que son entreprise a une convention avec l'Etat de Vaud qui définit quand les lieux doivent être laissés au repos pour des raisons écologiques.
Et de préciser que "non seulement le groupe Orllati a été blanchi, mais il n'a même jamais été mis en prévention". La procédure fait actuellement l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
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ats/hend
Différend entre Avni Orllati et Bernard Nicod
Avni Orllati explique que sa relation avec Bernard Nicod s'est détériorée alors qu'ils travaillaient ensemble sur un projet.
Or ce dernier "se l'est approprié", selon Avni Orllati. "Dans sa tête, il s'est fait un film, c'est devenu son chantier (...) Or, il ne possède que 20% du terrain", détaille le promoteur vaudois.