Le but est de concilier le développement des transports publics et de la mobilité douce, d'absorber le trafic automobile et de sécuriser les accès des riverains. Il n'y aura plus qu'une piste à la descente sur une majorité du tracé.
Arrivée au département des infrastructures, la socialiste Nuria Gorrite a relancé le dossier. Avec les autres partenaires du projet, elle a présenté lundi le réaménagement de cette route, entre les Croisettes et le Chalet-à-Gobet, qu'utilisent chaque jour entre 18'000 et 27'000 véhicules, en progression de 1% par an.
79 oppositions
La Confédération devrait contribuer à hauteur de 7 millions de francs. Dans le détail, le canton mettra 17,7 millions, Epalinges 4,3 millions et Lausanne 2,6 millions. Les travaux sont prévus de 2018 à 2021, avec le maintien du trafic.
Le traitement des 79 oppositions "touche à sa fin". L'approbation définitive du projet devrait intervenir "en janvier", selon la documentation fournie sur le réaménagement du tronçon.
ats/sey