Baptisé ChAd3-EBO-Z, ce vaccin pourrait permettre de stopper de nouvelles épidémies, indiquent le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) et la Policlinique médicale universitaire (PMU) dans un communiqué commun.
Les études d’efficacité ont d’ores et déjà commencé dans les pays qui avaient été affectés par le virus en 2014.
Développement accéléré
Il y a un an, les deux institutions vaudoises annonçaient la vaccination de 120 volontaires, alors que l’épidémie ravageait la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia. Pendant plusieurs mois, les résultats ont été transmis au jour le jour à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et aux acteurs de la lutte contre l’épidémie pour organiser la stratégie de lutte contre le virus.
Grâce à cette étude lausannoise de phase I, le développement du candidat-vaccin par le laboratoire GSK a été grandement accéléré, souligne le communiqué.
ats/rens