Dix-neuf équipes du monde entier étaient invitées à présenter leurs projets à Hawthorne en Californie, siège de l'entreprise SpaceX, a indiqué l'Ecole polytechnique de Lausanne (EPFL) dans la nuit de dimanche à lundi.
Au terme d'une semaine d'essais sur le site, seules les trois meilleures capsules, ou "pods", ont été lancées dans le tube d'un kilomètre et demi, dont celle des étudiants de Lausanne.
Problèmes de communication
Qualifié pour la finale aux côtés des Néerlandais de Delft Hyperloop et des Allemands de WAAR Hyperloop, EPFLoop a atteint avec son "pod" une vitesse de 85 km/h, détaille le texte. Des problèmes de communication l'ont toutefois empêché de développer toute sa vitesse. Les chercheurs vaudois ont pris la troisième place.
Le projet allemand a atteint un pic de vitesse de 466 km/h, se hissant ainsi en haut du podium. Les Néerlandais ont atteint une vitesse de 142km/h, regrettant que tout ne se soit pas passé exactement comme prévu.
ats/br
Des problèmes de batteries pour l'autre équipe suisse
Autre équipe suisse dans la course, "Swissloop", fruit d'une collaboration entre des étudiants de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) et d'autres hautes écoles et partenaires privés, n'est pas parvenue cette année à se glisser dans la finale.
L'équipe zurichoise a rencontré des problèmes au niveau de ses batteries durant les premiers essais, indique dimanche l'EPFZ. En 2017, "Swissloop" avait elle aussi gagné la troisième place de cette compétition.