Concrètement, le système, nouvel outil de Google dans sa lutte contre les fausses informations, est restreint aux titres de certaines informations qui ont fait l'objet de vérification par des sites spécialisés comme Snopes et PolitiFact, ou par les équipes de fact-checking de médias généralistes comme le Washington Post.
L'éventuelle ressemblance entre le décret migratoire du président Trump et celui du président Obama, ou les affirmations du directeur de l'Agence de protection de l'environnement (EPA) sur le changement climatique font ainsi, par exemple, apparaître assez haut les résultats de vérification avec les mentions, selon les cas: "faux", "faux pour l'essentiel", "vrai".
115 "fact checkers"
Les sites utilisés pour informer l'internaute des vérifications effectuées sur une information doivent avoir été approuvés par Google, a précisé le groupe dans un message posté vendredi sur un de ses blogs.
Au total, 115 "fact checkers" participent actuellement à cette initiative.
afp/kkub