Ces chiffres émanent du dernier rapport annuel de l'office, cité samedi par la Schweiz am Wochenende et dont l'ats s'est procuré une copie. En 2018, Fedpol a alerté un peu plus de trois fois par mois une police cantonale afin qu'elle protège la personne en danger.
Plus de cas lors de scrutins
Les cas enregistrés concernent les personnes sous protection de la Confédération, notamment les conseillers fédéraux, les parlementaires et les procureurs. C'est la première fois que Fedpol établit et publie le nombre de menaces jugées sérieuses. Aucune comparaison avec les autres années n'est donc possible.
Selon des données antérieures, les menaces enregistrées sont principalement liées aux réfugiés ou à la politique européenne. Le nombre de cas augmenterait par ailleurs pendant les votes et les élections.
ats/oang