Vingt petits partis politiques en Suisse romande se sont lancés dans la course aux élections fédérales cette année. Moratoire sur les naturalisations, urgence climatique ou suppression des impôts, ces formations défendent parfois des idées radicales. La RTS les a tous rencontrés.
Collectifs, mouvements ou candidats indépendants, plusieurs petits partis tentent de rivaliser avec les grandes formations pour décrocher un siège sous la Coupole fédérale. En Suisse romande, ils sont une vingtaine, soit près de deux fois plus qu'en 2015.
Parmi ces formations, certaines, telles que le Parti Pirate, l'UDF, le PEV, le Rassemblement Citoyen Valais, le Parti nationaliste suisse, les Démocrates suisses ou encore le Genevois Guy Mettan, avec sa liste Planète bleue, sont déjà connues du grand public.
D'autres se lancent pour la première fois. C'est le cas par exemple des listes Urgence écologique, Transition citoyenne Vaud ou Démocratie directe.
Camille Degott et Mathieu Henderson
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