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Les rencontres sur la toile ont la cote

José Bové, Charlie Hebdo et Roche
Surfer sur le net pour trouver son alter ego, une technique prisée
La recherche du partenaire amoureux se fait de plus en plus sur internet: selon une étude présentée mercredi à Zurich, 17% des 1000 personnes sondées ont rencontré l'âme soeur par ce biais.

Ce troisième pointage montre qu'internet gagne en importance
auprès des célibataires en quête de l'âme soeur. Il est cité par
57,5 % des personnes interrogées, contre 54% l'an dernier et 47% en
2004. Selon les responsables de l'agence, ce moyen de rencontre est
même désormais tout à fait entré dans les moeurs et accepté, les
heureux couples n'hésitant plus à en parler autour d'eux.



Les moyens de rencontres classiques restent cependant les plus
utilisés. Internet arrive en quatrième position, derrière les amis
communs, les sorties et le travail. Relative surprise: internet
comme moyen de rencontres est carrément plébiscité par les 40-49
ans, dont 57,7% seraient prêts à se lancer, contre 42,2% des 20-29
ans («qui sont socialement plus actifs», selon l'agence Parship) et
45,4% des 30-39 ans.

Plus de réussite chez les jeunes

En revanche, les internautes ayant trouvé chaussure à leur pied
sont plutôt jeunes: 23,4% des 20-29 ans ont du succès, contre 12,9
% des 40-49 ans. Au total, sur les mille personnes interrogées, 17%
ont rencontré leur partenaire grâce à internet (16,4% en 2005 et
14% en 2004). Avantages cités par les internautes: la recherche en
ligne permet de rencontrer des personnes diverses, autorise une
prise de contact par étapes et garantit l'anonymat.



ats/sun

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Jusqu'à 15 partenaires

Le sondage nous apprend encore que 45% des internautes sondés ont eu entre deux et cinq histoires d'amour ou partenaires. Une personnes sur 10 en a jusqu'à 15. L'amour unique ne concerne que 7,5% des personnes.

Selon Parship, il faudrait statistiquement 12,7 histoires sérieuses pour espérer trouver ensuite le partenaire idéal.

Le sondage s'est aussi penché sur la conception des internautes en matière de répartition des rôles.

En Suisse alémanique, un projet de partage égalitaire des tâches entre partenaires ne passerait pas la barre d'un scrutin populaire: 42% seulement l'approuvent (68,4% en Suisse romande).