Les femmes interrogées mettent en avant une plus grande espérance de vie, mais également des interruptions de carrière et des temps partiels dus à la maternité.
La moitié d'entre elles "affirment que l'argent joue un rôle important pour compenser les lacunes de prévoyance et pour disposer d'une sécurité en cas de maladie ou de perte d'autonomie", a indiqué le numéro un bancaire suisse dans son étude.
Pourtant peu préoccupées par leur patrimoine
Malgré ce constat, le sondage révèle que "très peu des femmes sondées abordent les questions de finances à long terme". Elles ne sont que 20% à s'intéresser à la constitution d'un patrimoine et 15% à se pencher sur les marchés financiers et la Bourse.
Chez les jeunes femmes âgées de 18 à 34 ans, 57% pensent qu'elles devraient s'intéresser davantage aux placements et produits financiers.
Parmi les plus fortunées, sept femmes sur dix interrogées "regrettent de ne pas s'être inquiétées de leur prévoyance durant leurs jeunes années". Elles sont 70% à recommander aux jeunes de s'occuper activement de leur prévoyance vieillesse.
UBS a mené ce sondage en avril à l'échelle nationale auprès de 2507 personnes, dont 40,6% de femmes.
ats/oang