De la malbouffe végane, des réfugiés ukrainiens (sur)qualifiés, une France partagée en deux

ENQUÊTE - De la malbouffe chez les végans

Saucisses, burgers, nuggets, cordons verts: les choix en matière de malbouffe version végan s'étoffent dans les grandes surfaces ou dans les restaurants. Pour les personnes qui souhaitent arrêter la viande, toutes ces alternatives doivent permettre de remplacer les produits d'origine animale.

Mais côté diététique, la composition de ces aliments peut s'avérer dangereuse pour la santé. En effet, entre 11 et 25 ingrédients sont nécessaires pour composer ces aliments, du fécule de maïs au stabilisant en passant par le sel et autres huiles et farines. Souvent plus gras et plus salés que la viande, ces produits sont aussi gavés d'additifs.

Selon la nutritionniste Tessa Ang, qui a épluché pour la RTS les étiquettes de plusieurs marques de burgers et de nuggets végan, ces produits sont riches en protéines, mais en termes de nutriments, ils sont très pauvres.

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TEMOIGNAGES - Des réfugiés ukrainiens (sur)qualifiés

Près de 40'000 réfugiés ukrainiens, surtout des femmes et des enfants, se sont enregistrés en Suisse. Parmi ces personnes, certaines ont déjà trouvé un emploi. C'est notamment le cas de Viktoria Didur, 37 ans, qui travaille comme réceptionniste dans l'hôtel genevois Bel'Espérance. Pourtant rien ne prédestinait l'Ukrainienne à exercer une telle fonction. À Kiev, elle travaillait pour une fondation caritative et avait sa propre entreprise d’événementiel.

"Ce serait parfait de trouver un travail dans mon domaine, bien sûr, mais tant que mon fils, ma belle-mère et moi-même sommes en sécurité, je suis prête à accepter n’importe quel job. Je verrai bien ce que je ferai après", a-t-elle expliqué mercredi dans le 19h30.

Les réfugiés ukrainiens sont très qualifiés, montre une enquête menée par l'entreprise JobCloud. Trois quarts d'entre eux sont des femmes. Leur âge moyen est d'environ 36 ans, et trois quarts encore ont un diplôme universitaire ou d'une haute école.

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FACE À FACE  - Duel musclé entre deux France

Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont eu de vifs échanges mercredi soir lors du débat de l'entre-deux tours pendant plus de 2h30. Le président sortant a notamment accusé la candidate du Rassemblement national de pousser à la "guerre civile" en voulant interdire le voile islamique. A l'issue du duel, un sondage donnait Emmanuel Macron vainqueur à 59%.

Si l'objectif de Marine Le Pen était d'éviter la déroute comme il y a cinq ans, le but est atteint, a expliqué le correspondant de la RTS à Paris Alexandre Habay. Une analyse partagée par son homologue du journal britannique The Telegraph, Anne-Elisabeth Moutet. Selon elle, si Marine Le Pen n'a pas gagné le débat, elle ne l'a pas non plus perdu.

Quant à Emmanuel Macron, il est apparu confiant et maîtrisant ses dossiers. La journaliste britannique juge néanmoins que le président sortant a utilisé des expressions "assez méprisantes". Il s'est montré, selon elle, "trop condescendant", utilisant un "ton professoral".

>> Revoir les moments forts du débat :

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PORTRAITS - Ces parlementaires méconnus en Suisse romande

Ce sont des parlementaires fédéraux et pourtant leurs noms ne vous disent rien? C'est normal, ces élus suisses-alémaniques, tessinois et grison apparaissent peu, voire jamais, dans les médias romands.

Passionnée de camions, fan de musique disco, ou attirée par les voyages au bout du monde, la RTS a brossé le portrait de cinq parlementaires au profil atypique.

Parmi ces élus, Florence Brenzikofer, conseillère nationale Verte de Bâle-Campagne. Sa particularité? Son goût pour l'aventure et la nature.  La mère de deux enfants, baroudeuse dans l'âme, a embarqué en 2006 avec toute sa famille pour la Bolivie. Elle y vivra à la campagne, en y inscrivant les enfants à l'école locale. Elle y reviendra deux ans plus tard pour se lancer dans la politique.

>> Le portrait de Florence Brenzikofer :

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CROYANCES - Ces minorités religieuses improbables

Imaginerait-on des protestants en Espagne,des juifs en Irak, des musulmans au Japon, des catholiques dans la péninsule arabique ou encore des bouddhistes en Israël? L'émission Forum est partie à la rencontre de minorités religieuses dont on ne soupçonne pas l'existence.

Au Koweït, par exemple, la population chrétienne compose entre 15 et 20% des 4 millions d'habitants du pays. Il y a les travailleurs immigrés originaires des Philippines ou d'Inde, qui représentent la grande majorité des chrétiens du pays, mais il y a aussi, de façon surprenante, quelques chrétiens koweitiens.

>> Le sujet de Forum sur les chrétiens au Koweït :

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RTSinfo