La hausse moyenne des primes d’assurance maladie atteindra 8,7% en 2024, avec un pic à 9,9% dans le canton de Vaud. Faut-il changer de caisse, de modèle ou de franchise pour atténuer le choc? Les conseils de la spécialiste Anne-Laure Duperrex dans le Point J.
La cheffe de projet au sein de l’Association régionale d’action sociale (ARAS) du Jura-Nord vaudois rappelle que l’assurance de base est la même partout. En revanche, le système de tiers-payant permet de ne pas avancer les dépenses au moment d’achat de médicaments à la pharmacie.
Ensuite, c’est le modèle qui importe. Les principaux sont l’assurance de base obligatoire des soins (AOS), sans limitation, puis le médecin de famille qui oblige à passer par son généraliste avant toute consultation autre que gynécologue, pédiatre et ophtalmologue et enfin la consultation téléphonique avant toute autre démarche.
Dans le Jura nord-vaudois, plus de 40% de la population touche des subsides.
Anne-Laure Duperrex conseille le modèle du médecin de famille: "Il prétérite peu les situations parce qu’en général, on passe quand même toujours chez son médecin avant d’aller chez un spécialiste".
En terme de franchise, quel est le meilleur choix? Et que se passe-t-il si l’on ne paie pas?
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![LPJ VIGNETTE primes [KEYSTONE - GEORGIOS KEFALAS]](https://img.rts.ch/info/suisse/2023/image/qezrdw-26173488.image?w=960&h=384)
KEYSTONE - GEORGIOS KEFALAS Caroline Stevan et l’équipe du Point J
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