La violence des propos, la gravité des accusations colportées par les deux hommes ont nui à l'image du système de santé valaisan, estime le RSV dans un communiqué diffusé mercredi. Le RSV se doit de défendre ses droits, son honneur et son image. La décision de porter plainte a été mûrement réfléchie.
Certains des propos des détracteurs vis-à-vis des employés des hôpitaux valaisans mais aussi des patients sont "inacceptables", précise Dietmar Michlig, directeur du RSV. Les détracteurs avaient évoqué une hiérarchie autoritaire et dictatoriale régnant par la terreur après la polémique déclenchée à fin février avec le licenciement d'un chirurgien.
Le parlement valaisan y a mis un terme au début mai en exigeant un audit. Les deux détracteurs avaient alors enterré la hache de guerre.
ats/jeh