Selon Sébastien Fanti, avocat spécialisé dans les nouvelles technologies qui va saisir le préposé fédéral à la protection des données et à la transparence, il faudra comprendre comment un citoyen a pu donner deux fois sa voix lors des dernières élections fédérales. Il s'agira également de vérifier que le résultat correct a finalement pu être retenu par la chancellerie. Sébastien Fanti envisagerait de poursuivre sa démarche au tribunal si la médiation n'aboutit pas.
En France, où plusieurs dizaines de milliers d'électeurs pourront se prononcer par internet lors des prochaines législatives, l'e-voting aurait déjà pu être piraté à plusieurs reprises par un chercheur français, ce qui explique l'inquiétude des experts en sécurité informatique.
vkiss