Le personnel de Merck Serono s'est fortement mobilisé ces jours pour faire plier la direction de l'entreprise, en vain. Aperçu en images.
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Plus d'une centaine d'employés ont occupé pacifiquement le parvis de Merck Serono, mercredi 20 juin. [Martial Trezzini]
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Des employés de Merck Serono ont dormi dans des tentes devant l'entreprise dans la nuit de mardi à mercredi, pour manifester symboliquement leur colère. [Martial Trezzini]
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La sécurité a été renforcée autour du bâtiment de Merck Serono par le biais d'une société privée. [KEYSTONE - Martial Trezzini]
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Mardi 19 juin, la direction de Merck Serono a réaffirmé sa position quant à la fermeture du site, provoquant la colère des salariés. [Salvatore Di Nolfi]
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La décision de l'entreprise impliquera la suppression de 500 postes. [Salvatore Di Nolfi]
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Le porte-parole du syndicat Unia Alessandro Pelizzari (gauche) a dit être "surpris par le refus de la direction d'améliorer de manière significative le plan social". [KEYSTONE - Salvatore Di Nolfi]
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Les salariés ont exprimé mardi leur déception d'être traités comme des "numéros". [Salvatore Di Nolfi - SALVATORE DI NOLFI]
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Le personnel avait proposé trois alternatives permettant le maintien d'une partie des emplois, mais aucune n'a été retenue. [KEYSTONE - Salvatore Di Nolfi]
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En colère et déçu, le personnel a voté en assemblée générale une grève reconductible à partir de mercredi. [KEYSTONE - Salvatore Di Nolfi]
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Lundi 18 juin, les salariés de Merck Serono avaient déjà organisé une "flash mob" pour faire plier la direction. [KEYSTONE - Christian Brun]