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L'affaire de corruption du SECO s'étend à l'Office fédéral de la logistique

A l'origine des soupçons, il y a un contrat signé par le SECO et l'OFCL et résilié moins de 24 heures après la divulgation de l'affaire. [OFCL - Office fédéral des constructions et de la logistique]
A l'origine des soupçons, il y a un contrat signé par le SECO et l'OFCL et résilié moins de 24 heures après la divulgation de l'affaire. - [OFCL - Office fédéral des constructions et de la logistique]
La presse alémanique s'interroge vendredi sur le rôle qu'a joué l'Office fédéral des constructions et de la logistique (OFCL) dans l'affaire de corruption au SECO.

L'affaire de corruption au Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO), révélée il y a un mois, s'étend à présent à l'Office fédéral des constructions et de la logistique (OFCL). Son rôle dans l'achat de coûteux programmes suscite des interrogations.

A l'origine des soupçons, il y a un contrat signé par le SECO et l'OFCL et résilié moins de 24 heures après la divulgation de l'affaire. L'accord permettait au département du SECO de remplir lui-même de nombreuses commandes informatiques concernant la caisse de chômage.

Dissolution "liée aux reproches" de corruption

La dissolution immédiate du contrat "est liée aux reproches" de corruption du SECO, a déclaré Jonas Spirig, porte-parole de l'OFCL, à la Berner Zeitung et au Bieler Tagblatt, confirmant ainsi leurs recherches.

Jonas Spirig a déclaré que la délégation du SECO a été accordée en 2012. "D'après ce que nous savons, les irrégularités concernant les achats se sont en revanche déroulés plusieurs années avant".

ats/ptur

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