Les Suisses ont consommé une quantité stable de légumes en 2014. Chaque habitant devrait avoir mangé quelque 85 kilos, selon des estimations provisoires.
L'hiver et le printemps cléments ont favorisé des récoltes précoces, "qui n'avaient plus été connues depuis de nombreuses années", écrit mardi mardi l'Union maraîchère suisse.
Les premiers légumes de saison, comme les salades, les asperges et la rhubarbe, ont pu être cueillis avec deux à trois semaines d'avance, avec une "qualité excellente". Tout le marché indigène a pu être approvisionné.
L'été humide a nécessité des importations
Un été jugé compliqué, car humide, a suivi. A l'inverse des mois précédents, la demande des consommateurs a nécessité des importations.
Le mauvais temps a également influé sur les goûts des clients: les choux-fleurs ont eu davantage la cote que les produits d'été, comme les tomates et les salades.
L'automne doux a permis une culture plus écologique, vu les besoins réduits des serres en chauffage.
ats/sbad