Les données que l'IFSN a reçues n'indiquent pas le danger moyen et certaines données ne sont "pas plausibles", précise l'organe de surveillance. Par exemple, pour simuler les vents et les températures extrêmes, il est indispensable d'avoir une vision régionale se basant sur des lieux plus représentatifs, dit l'IFSN.
Les analyses seront revues
Les analyses présentées en 2014 par les exploitants devront être revues par des experts. L'IFSN part du principe que les simulations des conditions climatiques extrêmes doivent se fonder sur des valeurs en partie plus élevées.
Les propriétaires des centrales nucléaires sont tenus de tenir compte dans leurs analyses des risques liés aux vents extrêmes, aux tornades, aux fortes pluies ainsi qu'à la grêle. Selon l'IFSN, les dangers dus à des conditions climatiques extrêmes constituent cette année un point fort du plan d'action mis sur pied à la suite de la catastrophe de Fukushima.
ats/mac