"La SFL possède une responsabilité sociale d’aider les enfants, les femmes et les hommes émigrants et nécessiteux", a expliqué son président Heinrich Schifferle. Pour Claudius Schäfer, CEO de la SFL, celle-ci est prédestinée à soutenir les personnes chassées de leur pays.
"Lors de la saison dernière, environ 50 nations étaient représentées dans la SFL. Nos clubs connaissent au quotidien la véritable signification des mots intégration et solidarité", a-t-il relevé.
Le sport européen pas en reste
Le soutien du monde du sport aux réfugiés qui arrivent sur sol européen s'est accentué ces derniers jours. Notamment en Allemagne, où certaines équipes ainsi que certains clubs de supporteurs n'ont pas hésité à afficher leur soutien à l'accueil de migrants en Europe.
Le Comité international olympique (CIO), de son côté, a annoncé la semaine dernière la création d'un fonds de deux millions de dollars destiné à des programmes d'aide aux réfugiés.
ats/gchi