A l'heure du bilan de sa participation à l'Assemblée générale des Nations unies durant cinq jours, Simonetta Sommaruga estime que le programme engage tous les Etats et ne suppose plus que le Nord dise au Sud ce qu'il faut faire.
Selon elle, les discours des chefs d'Etat ont montré qu'ils croyaient dans la force de cette organisation, même si le bilan de l'ONU doit être évalué de manière critique. "Il y a ici une volonté de trouver des solutions politiques et non militaires", a déclaré Simonetta Sommaruga. Elle a rappelé le rôle de la Suisse comme intermédiaire pour consolider la paix dans le monde.
Entretiens bilatéraux
En marge des discours et des débats à l'Assemblée générale de l'ONU à New York, la présidente de la Confédération a eu de nombreuses réunions bilatérales.
Elle a notamment discuté avec la chancelière allemande Angela Merkel, le chef du gouvernement italien Matteo Renzi et son homologue grec Alexis Tsipras.
ats/pym