Les ressources humaines et financières ont manqué pour pouvoir récolter activement des signatures dans tous les cantons, relève René Bünter, président du comité référendaire et élu UDC au Grand Conseil schwytzois.
Les vacances d'été, le manque de soutien des autres partis cantonaux, mais aussi la peur d'une défaite lors d'un vote populaire et la perte des améliorations offertes par le compromis qui en découlerait, pourraient être responsables de cet échec, détaille-t-il.
Signatures déposées sous forme de pétition
La plus grande partie des signatures vient des cantons de Schwyz (5000), Zurich (1000) et Zoug (1000). Toutefois des habitants de Nidwald et Schaffhouse soutenaient également le référendum. Tous sont des cantons contributeurs à la péréquation financière. Les signatures seront déposées sous forme de pétition, a indiqué René Bünter. Le politicien était la force motrice de ce référendum.
Avec l'échec du référendum, la péréquation devrait désormais entrer en vigueur.
ats/apyt