L'entreprise familiale de Rapperswil (SG) utilise l'espace disponible de manière optimale et renonce même à emmener certains animaux dans les lieux où la place s'avère insuffisante, salue l'organisation dans son rapport 2015. Les chevaux peuvent aller au pâturage presque quotidiennement.
Un "mauvais élève" s'améliore
Le cirque Royal de Lipperwil (TG), mauvais élève des expertises passées, a cette fois gardé ses bêtes dans des étables bien dotées en litière et en espaces de sortie adjacents. Certaines espèces, comme les nandous et les lamas, sont pourtant encore détenues dans des enclos n'atteignant pas les dimensions légales.
Pour ce faire, Royal invoque "un peu trop souvent les dispositions exceptionnelles de l'ordonnance sur la protection des animaux". Ce texte, en vigueur depuis début 2015, subit les foudres de la PSA car il accorde aux cirques le droit de faire des exceptions si les localités qui les accueillent ne leur offrent pas les conditions idéales de détention.
ats/jvia