Les conditions météorologiques très instables de 2014 avec de nombreuses perturbations, du vent et de la pluie ont favorisé la dispersion des polluants atmosphériques.
Mais l'été a été caractérisé par de fréquents passages de fronts orageux sur toute la Suisse. Les concentrations d'ozone ont ainsi été moins marquées que lors des années avec de plus longs épisodes ensoleillés.
Objectif loin d'être atteint
En moyenne horaire, la valeur limite d’émission de 120 microgrammes par mètre cube (μg/m3) a été outrepassée dans toutes les stations. Des progrès restent donc à faire, avertit le NABEL.
Malgré des progrès notables de la qualité de l'air ces dernières années, l'objectif fixé dans la loi n'est pas encore atteint. C'est une tâche complexe et toute mesure pour réduire les émissions de polluants se justifie, estime l'Office fédéral de l'environnement dans le rapport.
ats/rens