Les tâches à effectuer peuvent être menées avec les structures actuelles, a communiqué jeudi le DFJP après une rencontre entre la Confédération et les cantons.
Ils avaient déjà décidé mi-novembre que la situation sur le front de l'asile n'exige pour l'instant pas de recourir à l'Etat-major spécial asile, habilité à diriger le plan d'urgence. Ce plan permettrait de déroger à la loi sur l'asile. Elaboré après le Printemps arabe, il n'a encore jamais été activé.
Hausse des capacités d'accueil
Il a en revanche été décidé de poursuivre la planification prévisionnelle, notamment en termes de logements. Le groupe de travail doit préciser d'ici le 21 décembre quelles installations militaires et de protection civile pourront accueillir 2500 requérants en plus.
Pour faire face à la hausse des demandes, la Confédération a augmenté ses capacités d'accueil de 2300 au début de l'année à 5000 actuellement. Les hébergements de la Confédération sont pleins et les cantons doivent aussi trouver des solutions.
ats/boi