A moins de deux semaines de la votation sur l'initiative populaire "Pour le renvoi effectif des étrangers criminels", une affiche préconisant le "non" enflamme depuis peu les réseaux sociaux.
Elle fustige une justice à deux vitesses sur fond de croix gammée controversée. Le président du PBD Martin Landolt vient de la relayer à son tour sur Twitter, estimant qu'elle suggère avec pertinence les conséquences d'un oui à l'initiative dite de mise en oeuvre.
Bien qu'il ne considère pas l'UDC comme un parti nazi, Martin Landolt estime lundi dans le Blick que "leur radicalisation et leur style de communication ont des similitudes surprenantes avec l'Allemagne des années trente et l'Afrique du Sud pendant l'apartheid". A l'image des spectres qu'évoque l'affiche pour marteler que la Suisse se trouve en 2016 à un tournant historique.
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