"On souhaite que les athlètes transfèrent à nos clients du rêve. Si l'athlète triche, si l'athlète est suspendu pour un manquement à l'éthique ou aux règles du sport, ce transfert ne peut pas avoir lieu, le transfert est entaché", a souligné Jean-Claude Biver à la RTS.
Le patron suisse évoque une Maria Sharapova "sympathique, active avec les jeunes, généreuse, belle et intelligente", qui avait séduit la marque horlogère. Il se dit étonné que l'entourage de la sportive n'ait pas alerté la jeune femme sur la prise de ce médicament. "Je ne la soupçonne pas d'avoir fait exprès", a-t-il confié.
Une "amélioration de l'éthique dans le sport"
"Moins il y a d'athlètes qui passent entre les gouttes, plus propre deviendra le sport", a encore déclaré Jean-Claude Biver. Et de conclure: "Il faut d'abord révéler les scandales pour nettoyer. Donc, je pense qu'on va vers une amélioration de l'éthique dans le sport".
mo