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Les diplômés des hautes écoles restent rarement sans emploi

Après l'obtention de leur diplôme, les jeunes sortant des hautes écoles intégrent relativement vite le marché du travail.
Après l'obtention de leur diplôme, les jeunes sortant des hautes écoles intégrent relativement vite le marché du travail.
Cinq ans après leurs études, les diplômés des hautes écoles suisses sont peu nombreux à se retrouver sans travail comparativement au reste de la population active.

Les maîtres d'école sont ceux qui trouvent le plus rapidement un emploi. Les titulaires d'un diplôme d'une haute école pédagogique (HEP) de la promotion 2010 n’étaient que 0,6% à n'avoir pas trouvé d'emploi une année après l'obtention de leur titre.

Quatre ans plus tard, ce taux était de 0,5%, indique jeudi une étude de l'Office fédéral de la statistique.

Difficultés surmontées

Les diplômés universitaires et des hautes écoles spécialisées (HES) surmontent eux aussi relativement rapidement les difficultés pour entrer sur le marché du travail. Les premiers titulaires d'un master étaient 3,6% sans emploi en 2011 et plus que 2,5% quatre ans plus tard. Pour la même période, les diplômés des HES étaient respectivement 2,9% et 2%.

Le taux de chômage des diplômés des hautes écoles se situe ainsi clairement en deçà de celui enregistré dans la population active en Suisse, qui se situe entre 2010 et 2015 aux alentours de 4,4%.

ats/rens

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