"Il ne se passe pas un week-end où la police de Berne n'est pas en degré élevé de disponibilité", a déclaré le directeur de la sécurité de la ville de Berne. Les manifestations politiques et sportives, les concerts ou les fêtes spontanées en extérieur peuvent dégénérer.
Différents milieux se radicalisent. Et l'élu bernois de nommer les radicaux de gauche ou de droite comme les hooligans. Il arrive aussi que des citoyens haineux agissent seuls. Le fanatisme religieux vient encore s'ajouter à ce cocktail.
Premier point de contact
L'échelon communal est le premier point de contact pour les citoyens. Les villes peuvent évaluer directement la situation et prendre des mesures ciblées, ajoute Renate Amstutz, directrice de l'Union des villes suisses.. Mais elles ont besoin de la Confédération et des cantons pour trouver les moyens financiers nécessaires.
Même si, dans l'ensemble, les villes en Suisse sont sûres et le nombre des actes de violence criminels affiche une légère tendance à la baisse.
ats/rens