D'après ce texte, la pêche doit respecter les dispositions légales nationales et internationales en vigueur dans les pays exportateurs, ainsi que les mesures de conservation et de gestion des quotas. But: protéger les poissons menacés d'extinction en raison d'une surexploitation.
"Saumons du Pacifique et de l'Atlantique, harengs, thons, cabillauds, poissons plats et d'autres produits de la pêche maritime qu'ils soient frais, surgelés, réfrigérés, salés, coupés en petits morceaux, séchés, fumés ou vivants sont concernés par cette ordonnance", indique lundi l'administration fédérale.
La Suisse suit l'exemple européen
La Confédération effectuera des contrôles pour s'assurer que les produits sont issus d'une pêche licite. Les lots provenant d'Etats disposant d'une surveillance reconnue de la pêche pourront en revanche être importés sans contrôle systématique et sans paiement d'émolument.
La Suisse emboîte ainsi le pas à l'Union européenne qui a pris la même mesure en 2010.
ats/dk
'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires.