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Les droits de l'homme, une exigence pour les hôtes de la Coupe du monde

Des ouvriers à l'oeuvre sur la corniche de Doha, au Qatar. Le pays accueillera la Coupe du monde de football en 2022. [EPA/STR/Keystone]
Des ouvriers à l'oeuvre sur la corniche de Doha, au Qatar. Le pays accueillera la Coupe du monde de football en 2022. - [EPA/STR/Keystone]
Alors que l'organisation de la Coupe du Monde 2026 de football est sur le point d'être mise au concours, la FIFA introduit pour la première fois le respect des droits de l'homme comme critère d'évaluation des candidatures.

En septembre, l'organisation dirigeante du football, dont le siège est en Suisse, publiera les éléments nécessaires à un pays pour qu'il puisse prétendre accueillir la Coupe du Monde de 2026.

Pour la première fois, le respect des droits humains dans le cadre de l'événement y sera introduit comme critère d'évaluation d'un pays candidat, rapporte la SonntagsZeitung.

Libertés et conditions de travail

Cette mesure comprend notamment le respect des droits des travailleurs sur les chantiers de construction ainsi que la liberté de rassemblement ou d'opinion. La FIFA exigera également la non-discrimination de certaines parties de la population.

Toutes candidatures acceptées

Si le respect des droits de l'homme influencera l'évaluation finale, toutes les candidatures resteront néanmoins acceptées.

La FIFA avait été vivement critiquée pour son attribution de l'organisation des Coupes du Monde 2018 à la Russie et 2022 au Qatar.

kkub avec ats

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