L'ouverture et les relations internationales doivent se trouver au coeur du PVL, estime Jürg Grossen dans des entretiens diffusés vendredi par plusieurs journaux alémaniques.
Le conseiller national bernois, âgé de 48 ans, doit être élu samedi à la présidence des Vert'libéraux.
Plus de libéralisme
Le parti se battra également pour plus de concurrence et de libéralisme, plaide encore l'entrepreneur en électricité. Comme exemple, il cite le service de chauffeurs Uber ou la plateforme de réservation Booking.com. La gauche et la droite appellent à leur interdiction, critique-t-il.
Si la protection de l'environnement et l'économie pouvaient être unies, la planète pourrait être sauvée, poursuit-il. Il pointe la bureaucratie écrasante dans la protection de l'environnement, due, selon lui, à la gauche et aux Verts.
Jürg Grossen fixe comme objectif minimal du PVL aux élections fédérales de 2019 de dépasser à nouveau la barre des 5% et de gagner de nouveaux sièges.
ats/vtom