Ces deux quotidiens se sont vu remettre des millions de données par une entreprise zurichoise spécialisée dans la recherche de comptes piratés, notamment sur le Darknet. Parmi cette multitude de données, leurs spécialistes du Web ont remarqué, après analyse, que les noms de plus d'une trentaine de parlementaires fédéraux y figuraient.
L'intégrité de l'Assemblée fédérale pas en danger
Les Services du Parlement ont été informés de l'affaire et les noms des parlementaires visés leur ont été transmis. Ces derniers ont été contactés, personnellement ou par courriel. Les Services du Parlement leur ont conseillé de modifier de suite les mots de passe de tous les comptes où apparaissent leurs adresses e-mails piratées.
Après examen interne, les Services du Parlement sont en mesure d'assurer que l'intégrité et la sécurité de l'infrastructure de l'Assemblée fédérale ne sont pas concernées.
ats/jc