"Ca n'a pas marché. La formule n'a pas trouvé son public", a expliqué mercredi à l'ATS Grégoire Nappey. "Nous sommes arrivés jusqu'à 800 abonnés, puis cela a plafonné malgré des relances et des adaptations." Très loin des 8000 à 9000 abonnements qui étaient attendus après deux ans d'existence.
Cette édition numérique payante était proposée tous les soirs à ses abonnés sur le coup des 17h00. Visuellement, elle se présentait sous forme de cartes contenant des articles. Sa ligne éditoriale, assez magazine, était moins axée sur le "people" et les faits divers que Le Matin.
Pas de licenciement
Grégoire Nappey regrette de n'avoir pas eu les moyens de proposer davantage de contenus originaux ainsi qu'une technologie plus poussée. Un poste à l'édition est supprimé, en lien avec un départ naturel, communique Le Matin. Il n'y a pas de licenciement.
ats/nr