Malgré les engagements de la Confédération à fournir une protection suffisante aux victimes de violence domestique, un quart d'entre elles n'a pas trouvé de place en centre d'accueil, selon les chiffres de la fédération solidarité femmes de Suisse et du Liechtenstein (DAO), cités par le Sonntagsblick.
En raison du manque de places et de moyens, certaines d'entre elles ont dû être transférées dans des centres d'accueil dans d'autres cantons, mais beaucoup ont fini dans une pension ou ont dû trouver une solution par leur propre moyen.
17'000 cas de violence domestique
La présidente de la DAO Susan Peter demande d'urgence de nouvelles places et plus de personnels. Ce n'est que de cette manière que la Suisse pourra remplir les nouvelles obligations internationales, ajoute-t-elle.
Depuis le 1er avril, la Confédération helvétique s'est engagée à fournir une protection suffisante aux victimes de violences domestiques. Quelque 17'000 cas ont été enregistrés par les différentes polices en 2017.
rens avec ats