Les beaux parleurs - Dernier cri (audio)
Jonas Schneiter est entouré pour cette émission de Marie Fourquet, Stephan Davidshofer, Ivan Radja et de l'humoriste Benjamin Décosterd. L'équipe parle du phénomène Jean-Pierre Fanguin, du refus de viande rouge dans les cuisines de Plateforme10 et de la possible faillite du salon de lʹauto. En deuxième partie d'émission, les beaux parleurs accueillent Michael Drieberg, le directeur de Live Music Production. Brigitte Rosset nous le présente avec humour.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreJonas Schneiter est entouré pour cette émission de Marie Fourquet, Stephan Davidshofer, Ivan Radja et de l'humoriste Benjamin Décosterd. L'équipe parle du phénomène Jean-Pierre Fanguin, du refus de viande rouge dans les cuisines de Plateforme10 et de la possible faillite du salon de lʹauto. En deuxième partie d'émission, les beaux parleurs accueillent Michael Drieberg, le directeur de Live Music Production. Brigitte Rosset nous le présente avec humour.
- La chronique de Benjamin Décosterd - Le congé paternité
- Dispute - Le triomphe des idiotsJean-Pierre Fanguin, un jeune adulte à lʹélocution approximative, a fait le buzz de lʹannée en tentant de convaincre son public de réaliser des investissements qui semblent fumeux. Est-ce le triomphe des idiots?
- Dispute - La viande rouge n'est pas souhaitée dans les restaurants de Plateforme 10La nouvelle plateforme muséale de Lausanne recherche des projets de restauration, à condition que la viande rouge nʹy soit pas cuisinée. Une restriction qui fait déjà hurler le milieu de la restauration.
- Dispute - Le salon de lʹauto appelle au secours et risque la failliteFaut-il alors sauver le salon de l'auto, cette manifestation historique en détresse sur la bande dʹarrêt dʹurgence? Ecologistes et féministes seraient tenté de la laisser couler tandis que les garagistes et ses visiteurs suisses allemands veulent sa survie à tous prix.
- Les coups de gueule des chroniqueursCette semaine, Marie Fourquet commente le quart dʹheure vaudois, Ivan Radja évoque la rentrée littéraire tandis que Stephan Davidshofer parle des comploto-sceptiques.