A boire et à manger… ses propres déchets
Urinothérapie, coprophagie, placentophagie, rhinotillexophagie… gros plan sur des pratiques qui consistent à ingérer ses propres déchets corporels. Y a-t-il des effets, positifs ou négatifs, à consommer ses urines, ses excréments, son placenta ou ses crottes de nez? Les réponses de médecins et de toxicologues conviés par Bastien Confino. Avec Michel Burnier, chef du Service de néphrologie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Marie Cohen, professeure assistante au Département de gynécologie obstétrique aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), et Marc Augsburger, responsable de l’Unité de toxicologie et de chimie forensique au Centre universitaire romand de médecine légale.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Mieux dater un corps en décompositionJusqu'à présent, pour estimer le moment de la mort d’un humain en état avancé de décomposition les investigations criminelles interrogeaient, par exemple, les larves et les mouches. Idliko Szelecz, doctorante de l'Université de Neuchâtel (Unine), propose de chercher dans les sols impactés par la présence du cadavre. Changements chimiques et biologiques, abondance de certains micro-organismes, Edward Mitchell, professeur à l’Institut de biologie de l’Unine et directeur de cette thèse, décrit cette méthode au micro d'Anne Baecher.
- A boire et à manger… ses propres déchetsUrinothérapie, coprophagie, placentophagie, rhinotillexophagie… gros plan sur des pratiques qui consistent à ingérer ses propres déchets corporels. Y a-t-il des effets, positifs ou négatifs, à consommer ses urines, ses excréments, son placenta ou ses crottes de nez? Les réponses de médecins et de toxicologues conviés par Bastien Confino. Avec Michel Burnier, chef du Service de néphrologie du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Marie Cohen, professeure assistante au Département de gynécologie obstétrique aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), et Marc Augsburger, responsable de l’Unité de toxicologie et de chimie forensique au Centre universitaire romand de médecine légale.
- Du nouveau pour identifier les régulateurs des gènesDes chercheurs de l’Université de Genève (Unige) ont mis au point une technique originale pour identifier les régulateurs des gènes. Cela va aider, notamment, à mesurer plus rapidement et plus efficacement les effets des médicaments sur une cellule du corps. Les explications d'Ueli Schibler, professeur honoraire au Département de biologie moléculaire de l’Unige, rencontré par Stéphane Délétroz.