Une enquête scientifique sur les planches
Huma Khamis vous emmène suivre une passionnante enquête scientifique avec un détective, un riche colonel et la mystérieuse explosion d’un ballon de baudruche ayant appartenu à Einstein. Tout ceci se passe à Genève, dans une pièce de théâtre scientifique destinée aux jeunes.
Avec l’auteur de “Mystère au Manoir Moutarde” Fathi Ben Aribi, assistant postdoctorant Swissmap à l’Université de Genève, et Shaula Fiorelli, co-responsable du Mathscope.
Avec l’auteur de “Mystère au Manoir Moutarde” Fathi Ben Aribi, assistant postdoctorant Swissmap à l’Université de Genève, et Shaula Fiorelli, co-responsable du Mathscope.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreActu: Comment les fourmis sortent du nid
Chronique: Une enquête scientifique sur les planches
Dossier: Le point sur lʹéchinococcose alvéolaire - Comment les fourmis sortent du nidLes jeunes fourmis travaillent à lʹintérieur de la fourmilière. Elles prennent soin du couvain, donc des œufs, des larves et des nymphes. A environ quatre mois, elles sortent et deviennent des fourragères. Elles vont chercher la nourriture pour assurer le ravitaillement de la colonie. Elles gardent cette fonction jusquʹà la fin de leur vie. Ce changement de métier est dû à une hormone très particulière.
On en parle avec le myrmécologue Laurent Keller, professeur au Département dʹécologie et évolution à lʹUniversité de Lausanne, interrogé par Silvio Dolzan. - Une enquête scientifique sur les planchesHuma Khamis vous emmène suivre une passionnante enquête scientifique avec un détective, un riche colonel et la mystérieuse explosion d’un ballon de baudruche ayant appartenu à Einstein. Tout ceci se passe à Genève, dans une pièce de théâtre scientifique destinée aux jeunes.
Avec l’auteur de “Mystère au Manoir Moutarde” Fathi Ben Aribi, assistant postdoctorant Swissmap à l’Université de Genève, et Shaula Fiorelli, co-responsable du Mathscope. - Le point sur lʹéchinococcose alvéolaireAnne Baecher s'intéresse à l'échinococcose alvéolaire aussi appelée "ténia du renard". Le risque d'infection par cette maladie transmise le plus souvent par les excréments du renard est faible chez l'homme. Mais quand elle se produit, ses conséquences peuvent être graves.
Le témoignage de Tomi Tomek, directrice du refuge SOS Chats Noiraigue, et les explications de François Chappuis, médecin chef du Service de médecine tropicale et humanitaire des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).