![L'usage du passé simple dans les romans appartient-il au passé?
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Le passé simple dans les romans: ringard ou tendance?
Quel sort les romans dʹaujourdʹhui réservent-ils au passé simple, ce temps dont on nous enseignait à lʹécole quʹil servait, dans la narration, à relater des événements "successifs et achevés"?
Quelles réactions suscitent chez le lecteur des formules comme "nous nous quittâmes" (Michel Houellebecq) ou "nous fîmes chou blanc" (Joël Dicker)?
Quand, comment et sous quelles conditions les autrices et auteurs du 21ème siècle recourent-elles-ils au passé simple?
Questions posées par Geneviève Bridel à Philippe Gilles, de lʹUniversité de Lausanne, spécialiste de stylistique littéraire et co-auteur, entre autres, de: Le style indirect libre. Naissance d'une catégorie, Lambert-Lucas, 2018 et de Le rêve du style parfait, Presses universitaires de France, 2013 ainsi quʹà Anne-Sophie Subilia, à qui lʹon doit Parti voir les bêtes (Zoé 2016) et Jours dʹagrumes (LʹAire 2013).
Quelles réactions suscitent chez le lecteur des formules comme "nous nous quittâmes" (Michel Houellebecq) ou "nous fîmes chou blanc" (Joël Dicker)?
Quand, comment et sous quelles conditions les autrices et auteurs du 21ème siècle recourent-elles-ils au passé simple?
Questions posées par Geneviève Bridel à Philippe Gilles, de lʹUniversité de Lausanne, spécialiste de stylistique littéraire et co-auteur, entre autres, de: Le style indirect libre. Naissance d'une catégorie, Lambert-Lucas, 2018 et de Le rêve du style parfait, Presses universitaires de France, 2013 ainsi quʹà Anne-Sophie Subilia, à qui lʹon doit Parti voir les bêtes (Zoé 2016) et Jours dʹagrumes (LʹAire 2013).
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Le passé simple dans les romans: ringard ou tendance?
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreCoup de fil d'actualité: Si les pauvres n'existaient pas, faudrait les inventer
Sujet du jour: Le passé simple dans les romans: ringard ou tendance? - Si les pauvres n'existaient pas, faudrait les inventerLa pauvreté en Suisse nʹexiste pas, cʹest bien connu. Dʹoù, sans doute, le titre de cette création à découvrir au Théâtre du Grütli de Genève (du 14 au 26 janvier), "Si les pauvres n'existaient pas", faudrait les inventer. Jérôme Richer, auteur et metteur en scène, sʹen explique au micro de Nicolas Julliard.
- Le passé simple dans les romans: ringard ou tendance?Quel sort les romans dʹaujourdʹhui réservent-ils au passé simple, ce temps dont on nous enseignait à lʹécole quʹil servait, dans la narration, à relater des événements "successifs et achevés"?
Quelles réactions suscitent chez le lecteur des formules comme "nous nous quittâmes" (Michel Houellebecq) ou "nous fîmes chou blanc" (Joël Dicker)?
Quand, comment et sous quelles conditions les autrices et auteurs du 21ème siècle recourent-elles-ils au passé simple?
Questions posées par Geneviève Bridel à Philippe Gilles, de lʹUniversité de Lausanne, spécialiste de stylistique littéraire et co-auteur, entre autres, de: Le style indirect libre. Naissance d'une catégorie, Lambert-Lucas, 2018 et de Le rêve du style parfait, Presses universitaires de France, 2013 ainsi quʹà Anne-Sophie Subilia, à qui lʹon doit Parti voir les bêtes (Zoé 2016) et Jours dʹagrumes (LʹAire 2013).
![Le visuel du spectacle "Si les pauvres n'existaient pas". [grutli.ch]](https://img.rts.ch/articles/2019/image/t1mq5g-25984199.image?w=320&h=320 "Le visuel du spectacle \"Si les pauvres n'existaient pas\". [grutli.ch]")