Hélène Gestern: "L'eau qui dort"
Un soir, Benoît Lauzanne, représentant de commerce parisien, quitte le domicile conjugal pour ne plus y revenir. Au buffet de la gare de V., la ville de province où il sʹest réfugié, il est bouleversé par une femme dont la silhouette lui rappelle de façon troublante Irina, une artiste peintre qui fut le grand amour de sa jeunesse. Mais Irina a disparu vingt ans plus tôt sans laisser de traces. Dès lors, Lauzanne nʹaura plus quʹune obsession : retrouver cette femme. Sa quête lʹamènera à croiser un jardin, à renouer avec la nature, à laquelle il aurait voulu consacrer à sa vie, mais aussi à être impliqué dans une enquête criminelle. Les étapes qui jalonnent la recherche dʹIrina le conduiront à revivre différents épisodes du passé quʹil a pourtant tenté de laisser derrière lui, mais dont il reste le prisonnier.
LʹEau qui dort interroge la question de la disparition, au sens littéral, et de ses conséquences, dans la vie de ceux qui restent. Pourquoi choisit-on, un beau jour, de déserter sa propre existence ? Et comment les autres composent-il avec cette absence ? Le livre est aussi une méditation sur la nature, son rythme particulier, sa capacité de réparation et le pouvoir quʹelle a de contrebalancer les chagrins de lʹexistence.
Par Geneviève Bridel
Lectures: Yves Jenny
A lire: Hélène Gestern: "L'eau qui dort", Editions Arléa
LʹEau qui dort interroge la question de la disparition, au sens littéral, et de ses conséquences, dans la vie de ceux qui restent. Pourquoi choisit-on, un beau jour, de déserter sa propre existence ? Et comment les autres composent-il avec cette absence ? Le livre est aussi une méditation sur la nature, son rythme particulier, sa capacité de réparation et le pouvoir quʹelle a de contrebalancer les chagrins de lʹexistence.
Par Geneviève Bridel
Lectures: Yves Jenny
A lire: Hélène Gestern: "L'eau qui dort", Editions Arléa