Les orchestres suisses: un état des lieux
8. L'Ensemble symphonique Neuchâtel (ESN), avec la participation de son chef, Alexander Mayer
D'abord, il y eut ce coup de foudre entre le chef allemand Alexander Mayer et la ville de Neuchâtel, qu'il traversait régulièrement par le train pour se rendre à Genève comme assistant au Grand-Théâtre. Puis, la place de chef de l'orchestre nouvellement reformé s'est présenté à lui. L'ESN était en passe de relever le difficile défi de réunir non seulement le Haut et le Bas du canton, mais également l'Ouest et l'Est. En sept années, par sa souplesse, son profil à géométrie variable, l'ESN s'est imposé auprès de son public.
Le secret de ce succès réside probablement dans le fait que personne ne peut se revendiquer propriétaire exclusif de la formation et cependant le public accorde une confiance sans limite à l'orchestre et à son chef dans ses choix artistiques.
D'abord, il y eut ce coup de foudre entre le chef allemand Alexander Mayer et la ville de Neuchâtel, qu'il traversait régulièrement par le train pour se rendre à Genève comme assistant au Grand-Théâtre. Puis, la place de chef de l'orchestre nouvellement reformé s'est présenté à lui. L'ESN était en passe de relever le difficile défi de réunir non seulement le Haut et le Bas du canton, mais également l'Ouest et l'Est. En sept années, par sa souplesse, son profil à géométrie variable, l'ESN s'est imposé auprès de son public.
Le secret de ce succès réside probablement dans le fait que personne ne peut se revendiquer propriétaire exclusif de la formation et cependant le public accorde une confiance sans limite à l'orchestre et à son chef dans ses choix artistiques.