Mme Seiko Hashimoto a précisé devant le Parlement qu'elle faisait référence au contrat conclu entre Tokyo, le Comité olympique japonais et le CIO. "Si l'on relit le contrat, on constate que l'article 66 stipule que le CIO a le droit d'annuler les Jeux" entre autres "dans le cas où ils ne seraient pas organisés en 2020".
Tant le gouvernement japonais que les organisateurs des JO de Tokyo que le CIO continuent d'affirmer leur engagement envers une ouverture de la reine des rencontres sportives le 24 juillet comme prévu mais la propagation du virus à travers le monde soulève des questions.
Au Japon-même un grand nombre d'événements sportifs ont été reportés ou annulés et la plupart des écoles publiques ont été fermées cette semaine pour environ un mois.
agences/alt