Le juge Michael Levinas a estimé à l'issue de trois semaines de procès que l'ancien propriétaire, Donald Sterling, exclu de la NBA pour des propos racistes, ne pouvait pas bloquer la vente négociée par sa femme, dont il est séparé mais pas divorcé.
M. Levinas n'a trouvé "aucune preuve d'un complot secret" pour faire évincer M. Sterling en le faisant passer pour dément.
La bataille judiciaire continue
A l'issue du verdict, Shelley Sterling a estimé devant les journalistes que la vente des Clippers était "la meilleure décision possible pour la ville (de Los Angeles), pour la fédération (de basket-ball américaine, NBA) et pour ma famille".
Elle a dit espérer que son époux abandonnerait la seconde plainte qu'il a déposée la semaine dernière contre elle, la NBA et son président Adam Silver pour bloquer l'opération, qui pourrait être remise en cause si elle n'est pas finalisée avant une date-butoir du 15 août.
afp/jbla