Sur la Riviera du Ponant, où la météo prévoit un temps clément, les sprinteurs sont dans leur élément. La "classicissima" se conclut le plus souvent sur la Via Roma par un sprint... après 291 kilomètres.
"C'est la classique la plus facile. Mais elle est très difficile à conquérir", résume le favori Sagan, régulièrement devancé sur la ligne d'arrivée installée devant les façades ocre de la "cité des fleurs" (2e en 2013, 4e en 2012 et 2015).
Cancellara en embuscade
Très en jambes en ce début de saison, Fabian Cancellara compte bien jouer les premiers rôles, lui qui n'a gagné qu'une seule fois à Sanremo. Mais le Bernois de 35 ans a souvent pesé sur la course.
Vainqueur mardi du contre-la-montre final de Tirreno-Adriatico, Spartacus n'en finit pas d'impressionner ses adversaires. "C'est le favori numéro un", estime l'Italien Vincenzo Nibali, le vainqueur du Tour de France 2014.
ats/fg