"Paris-Roubaix est une épreuve au déroulement difficilement prévisible", observe Stefan Küng. "Il faut être prêt à différents scénarios, par exemple si votre leader chute ou connaît un ennui." Ce dimanche, il devra mettre ses ambitions personnelles sous le boisseau.
Le grand Thurgovien (1m93) se sent en tout cas plus à l'aise que la plupart des autres coureurs sur les pavés. "Je ne ressens pas de douleurs particulières aux membres", dit-il, par contraste avec les plaintes de certains coureurs qui souffrent aux mains et aux pieds lors des chocs sur ces pavés du nord.
Le Zougois Gregory Rast se mettra lui aussi au service de son équipe (Trek), plus particulièrement de son leader, l'Allemand John Degenkolb, vainqueur de la classique en 2015.
ats/alt
Cyclisme, les prochains rendez-vous
8 avril: Paris - Roubaix -
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