L'erreur de l'arbitre hongrois Viktor Kassai, qui n'avait pas validé un but marqué par l'Ukraine face à l'Angleterre mardi, continue de susciter l'ire des Ukrainiens. Sur Facebook, la page "Viktor Kassai dislike" par exemple été approuvée par plus de 32.000 internautes. Le sort de l'arbitre préoccupe certains députés qui discutent, entre eux, des moyens de le punir, a rapporté le quotidien Segodnia. Un parlementaire pro-présidentiel a ainsi proposé d'interdire à l'arbitre hongrois l'accès au territoire ukrainien, alors qu'un autre a suggéré au contraire de lui interdire la sortie de l'Ukraine. "Puis, c'est la naturalisation forcée. Et le peuple décidera de ce qu'on fera de lui", a proposé un député d'opposition.
Mémoire sélective
Joao Moutinho n'a pas très bonne mémoire. Le milieu portugais ne se rappelait guère du somptueux lob de Karel Poborsky qui avait permis à la République Tchèque d'éliminer ses prédécesseurs en quarts de finale de l'Euro-1996. "Je ne me rappelle pas très bien le but de Poborsky, j'avais 10 ans", a dit Moutinho. "Mais je me souviens du match de l'Euro-2008 quand on les a battus en poules (3-1)".
Chambreur
Fernando Alonso, le leader espagnol de la Scuderia Ferrari en Formule 1, a "hâte de voir le match France-Espagne" samedi, probablement dans le paddock du circuit de Valence où aura lieu dimanche le Grand Prix d'Europe. Pour l'occasion, le double champion du monde de F1, qui "soutiendra l'Italie dimanche contre l'Angleterre", a annoncé, en souriant, qu'il allait inviter Romain Grosjean, le pilote français de Lotus F1. Alonso a prédit à Grosjean "encore de bons moments d'ici la fin de la saison", avant d'ajouter un bémol. "Le moment le plus dur, ce sera samedi soir", lors de France-Espagne, a chambré, en souriant le pilote Ferrari.
afp/bond