Promesse. "Je le promets : si on gagne la finale le 13 juillet prochain, je me rase la tête". C'est la promesse du Belge Marouane Fellaini, buteur lors du match face à l'Australie. Une éventualité qui ne ferait pas les affaires des vendeurs de perruques en Belgique. La perruque façon "Fellaini" est l'un des objets de supporter les plus vendus au plat pays.
Maradona. Il a beau s'appeler Diego Maradona et posséder une accréditation officielle en bonne et due forme, mais l'idole du football argentin n'a pas pu entrer au Maracana pour assister au match Argentine-Bosnie. Commentaire désabusé de "El Pibe de Oro", champion du monde avec l'Argentine en 1986: "Depuis l'Afrique du Sud (il était alors sélectionneur national), c'est la première fois que j'allais voir jouer les garçons, mais je n'ai pas pu le faire". Il travaille pour une chaîne de télévision venézuélienne.
Grosse colère. Le sélectionneur de la Belgique Marc Wilmots a piqué une grosse colère mercredi à l'entraînement. Selon des images de la télévision flamande VRT, l'entraîneur n'a pas apprécié que ses joueurs effectuent des tirs, à froid, sans s'être échauffés. "Pourquoi vous frappez au but à froid? Vous êtes en train de courir partout et de shooter comme des cons (sic). Qu'est-ce que c'est que ça? Et puis après vous direz 'J'ai mal, j'ai mal', ouais ben trop tard", hurle Wilmots.
Décret. "La participation de la sélection nationale au Mondial brésilien est un événement d'intérêt national". C'est ce qu'a écrit le président costaricien Luis Guillermo Solis dans son décret octroyant deux heures d'absence aux fonctionnaires pour suivre les deux matches du Costa Rica, face à l'Italie vendredi, et contre l'Angleterre mardi prochain. Lors de son entrée en lice, la "Sele" a battu l'Uruguay, le favori du groupe D, 3 à 1.
Shocking. Le sélectionneur mexicain Miguel Herrera a interloqué la presse de son pays avec trois tweets écrits après le nul 0-0 obtenu contre le Brésil et ponctués du hashtag #mexicolindoyquehuevos (super Mexique et quelles couilles). "C'est bien sûr un peu pour nos fans. Ils étaient minoritaires dans le stade, mais on les a entendus, et parfois plus fort que les Brésiliens. Et puis, c'est aussi pour les garçons et ce qu'ils ont fait sur la pelouse", a expliqué Herrera.
afp/adav
Les prisonniers chiliens devant la télévision
Prisons. Une désagréable surprise attendait la gendarmerie chilienne lors de sa dernière inspection d'une prison de Santiago. Ils ont découvert 170 postes de télévision en écran plat, des neufs ou d'occasion, envoyés par les familles aux détenus en prévision du match de la Roja chilienne face à la Roja espagnole mercredi au stade Maracana de Rio de Janeiro. Lors de la victoire chilienne devant l'Australie (3-1), prisonniers et gendarmes ont oublié leur statut pour fêter ensemble les buts de la sélection nationale. Quelques embrassades ont même eu lieu au coup de sifflet final.