"Après avoir examiné la documentation et les preuves pertinentes", la présidente de la chambre d'instruction de la Commission d'éthique a décidé de "classer l'affaire en raison de l'absence évidente de preuves concernant toute violation présumée du Code d'éthique", a indiqué la FIFA dans un communiqué.
Depuis le 30 juillet, Infantino est sous le coup d'une procédure pénale en Suisse, le procureur fédéral extraordinaire Stefan Keller estimant qu'il y a des "éléments constitutifs d'un comportement répréhensible en rapport avec la rencontre entre le procureur général Michael Lauber" et le président de la FIFA.
Les infractions évoquées dans le dossier sont "l'incitation à l'abus d'autorité", à la "violation du secret de fonction" et à "l'entrave à l'action pénale".
agences/mat